Nawika no Doraneko
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Date d'inscription : 29/06/2011
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Localisation : Dans ton... Nan rien \o/
 |  Sujet: Le contexte : Où êtes vous ?  Ven 24 Fév - 7:26 | |
| Intrigue Première
29 Juillet
Je viens d'arriver sur le campus... Je suis impressionnée, c'est encore mieux que ce que l'on m'avait dit. Je remercie mes parents de m'y avoir envoyée. Le campus est géant, la verdure en est l'élément le plus frappant, il n'y a que les allées qui sont remplies de gravier, où il n'y a ni pelouses, ni arbres. Ces allées sont bordées de saules pleureurs, dont les branches retombent jusqu'au sol, formant quelconque rideau autour de leurs troncs noueux.
Les allées sont presque circulaires et mènent toutes au même endroit central : l'établissement.
On trouve sur le campus tout ce dont un étudiant pourrait rêver : de petites galeries commerciales, avec des articles quelque peu intéressant, de toutes sortes et de toutes provenances, leur prix est tout de même souvent élevé. Il y a aussi une piscine, couverte par une toison de verre, l'eau est chauffée, tout comme l'intérieur de la piscine, et il est possible de la découvrir. Juste à côté se trouve une patinoire, qui n'est utilisable qu'en hiver, avec de nombreux patins de toutes les couleurs à dispositions.
Un bois côtoie aussi le site, avec ses nombreuses chutes d'eau, de la plus froide à la plus chaude.
Il y a une large cour, aménagée en parc, est séparée du bois par un grand portail de bois, ouvert toute la journée. Elle est ponctuée de grandes pelouses à l'herbe tendre, des parterres de fleurs bien délimités, de grands arbres offrant de l'ombre fraîche à toute heure de la journée. La cour côtoie le réfectoire, qui possède de grandes baies vitrées, permettant d'avoir une vue agréable lors des repas. La cuisine est ouverte tout le temps, accessible aux élèves étant, par exemple, allergique, ou désirant tout simplement préparer quelque chose.
On peut aussi passer par la fontaine, et déboucher sur l'allée centrale qui mène au hall d'entrée. S'en suis un long couloir, qui est parsemé de portes marquées "ADMINISTRATION" , "VIE SCOLAIRE". Le bureau des surveillants est spacieux, possédants beaucoup de jeunes travailleurs près à vous écouter, à côté se trouve le blanc bureau de la CPE, que l'on ne peut pas voir à cause des montagnes de papier entassées dans tous les coins. L'infirmerie n'est pas très loin non plus, et un blanc à vous faire mal aux yeux règne en maître dans cette pièce qui, entre nous, sens le renfermé à plein nez.
Dans un des couloirs connectés au principal, se trouve toutes les salles de classe, qui sont éclairées par des néons violents, mais qui possèdent de grandes fenêtre pour laisser passer la lumière naturelle. Les tables permettent dans toutes les classes d'accueillir un groupe de quatre personnes. Le bureau est spacieux, lui aussi, et certaines salles possèdent une estrade.
Ensuite est un escalier de bois, avec une rampe soigneusement sculptée, qui mène au second étage, où l'on trouve les chambres de six, et celles, individuelles, du personnel.
Personnellement, je suis seule dans ma chambre. Il faut dire que j'ai demandé à être seule, étant parmi les premiers arrivants de cette année. L'établissement est plein à craquer, je suis contente qu'ils aient pu trouver une chambre vide.
20 Août
Tous ces gens sont... Flippants. Je sais pas, ils ont un petit air sadique, un sourire cruel ou un masque impassible et c'est plutôt désagréables, toutes ces grimaces qui m'accueille lorsque je passe. Est-ce parce que je suis nouvelle ? Non, j'en doute... Il y a trop d'autres nouveaux dans les couloirs. Serait-ce ma... Gentillesse ? J'espère de tout coeur que non, vu les rumeurs qui courent.
Le campus où je me trouve a été fondé par une femme, qui le fit bâtir avec l'argent d'un groupe de personnes, car elle n'avait pas les moyens de faire tout ce qu'elle voulait. Rapidement, elle passa du stade de directrice à figurante qui dirigeait soi-disant l'établissement, car tous les financements de l'établissement provenait de ces personnes, qui fondèrent un groupe dans le campus, que tout le monde craignait. D'autres groupes arrivèrent aussitôt, voulant contrer la montée en puissance de ces individus. Ils se mirent ainsi à aider l'établissement avec leur argent, ce qui fit que tout le monde finit par oublier qui finançait véritablement l'établissement. La directrice, ne pouvant plus gérer tout ces groupes aurait engagé d'autres directeurs. Du moins était-ce les rumeurs qui couraient.
Il y aurait plusieurs directeurs, jusqu'à six. D'ailleurs, sur la porte du bureau était inscrit : "BUREAU DU PROVISEURS". Faute de frappe ou était-ce volontaire ? Nul ne le sait.
D'ailleurs, nul ne sait si directeur il y avait, car les fauteurs de trouble ne se retrouvait jamais chez le proviseur, mais toujours chez la CPE.
Le personnel lui-même n'a pas la moindre idée de l'identité du proviseur, et il tente de régler les problème du campus lui-même. Il ferme les yeux sur la véritable guerre des gangs qui se déroulent dans l'établissement, il craint même certains groupes, et ignore leurs bêtises.
Le personnel est plutôt bien organisé, et contient beaucoup d'employés. Ces personnes sont plutôt en retrait et inconnue des élèves.
Je parlait de guerre des gangs... Il faudrait que je m'explique un peu. Chaque groupe à ses objectifs personnels, mais la plupart ne désire qu'une chose : trouver les directeurs et prendre leurs places à la tête de l'établissement. Il faut dire que l'établissement possède des fonds incroyables et quiconque le contrôle à un effet direct sur la ville qui l'entoure. De plus, des élèves des quatre coins du monde viennent s'inscrire ici.
Pour ces individus, tous les moyens sont bons pour parvenir à leurs fins. Du bizutage à l'abattement, j'ai bien dit tous.
2 Septembre
C'est la rentrée... Je... Enfin j'en peux plus. J'ai peur. Je n'approche plus personne. Je veux partir, mais ils m'ont menacé de mort. Je ne peux pas les citer, au cas où ils retrouveraient ce journal. C'est trop risqué. Ce pensionnat est une vraie prison ! Aidez-moi, je deviens folle, ces types sont tarés !
Je l'ai déjà dit mais... On ne vous envoie jamais chez le proviseur, lorsque vous faites une bêtise. Vous allez toujours chez le CPE, qui se fera un plaisir de vous torturer de ses paroles pendant des heures.
Personne dans l'établissement ne sait qui est le directeur, ni s'il est tout seul... Ou même s'il y en a un. Personne ne l'a jamais vu, il reste cloîtré dans son bureau toute la journée; même le personnel ne l'a jamais vu.
Ce que vous ne savez pas, c'est qu'une énorme enquête se déroule pour certains membres du personnel, qui ont, disons, des ambitions étranges. Certains recherche le fameux proviseurs, d'autres ont des buts mois nobles.
Chacun dans cet établissement à ses petits secrets. Aussi bien adultes qu'étudiants. Certains étudiants ont un passé douloureux, d'autres sont déjà perdus, et d'autres encore ont des tendances psychopathes... Et j'en passe !
Vous n'avez pas un peu envie de découvrir toutes ces petites cachotteries ? Libre à vous de mener votre enquête, mais je serais prudente à votre place; on dit que certaines personnes dans cet établissement sont... violentes et préfère la vengeance directe.
D'ailleurs, le degré de violence des gens se réfère souvent à son groupe. Du groupe de psychopathes aux gentils mignonnets. Quoique, des gentils, vraiment gentils, on n'en trouve pas beaucoup à Koichi. Ces gangs ont des buts qui leur tiennent vraiment à coeur. En plus des buts personnels et individuels des gens...
Cela commence à faire beaucoup de secrets, vous ne trouvez pas ? Double raison d'enquêter un peu.
Et ces gens. Oui, ceux qui vous observent, que vous voyez du coin de l'oeil, mais dès que vous vous retournez pour les interpellez, ceux-ci se détournent vivement et marchent comme si de rien n'était... Ne me dite pas que vous ne les connaissez pas, ce n'est pas possible, vous êtes forcément observé par une de ces personnes louches dont vous ne connaissez pas systématiquement l'identité. Vous vous demandez pourquoi elles vous espionnent ainsi, n'est-ce pas ? Je vais être gentille, et vous l'expliquer. Elles vous ont bien en vue, ces personnes-là, et figurez-vous qu'elles savent ce que vous faites vingt quatre heure sur vingt quatre. Rassurant, non ? Ce sont des recruteurs. Ils sont chargé, par ordre du leader de leur gang, d'observer certaines personnes, pour savoir si vous méritez d'entrer dans leur groupe. Autant vous dire tout de suite que vous êtes observé par une dizaine de personne, une venant de chaque groupe.
Si les recruteurs jugent que votre mentalité et votre force leur convient, alors ils vous engagerons. Vous ne voulez pas ? Tant pis pour vous, ce n'est pas leur problème, ils iront faire leur rapport au leader, qui prendra certainement un malin plaisir à vous engager de force. Et, dans un autre cas, plusieurs gangs vous convoitent ? Poussez-vous un peu, vous risquez de tâcher vos beaux habits de rouge. Ce serait un peu dommage, vous ne croyez pas ? Si, nous sommes d'accord, alors laissez les décider par le combats qui donc vous prendra sous son aile.
Pourquoi le directeur se cache ?
Pourquoi tant de mystère sur la pension ?
Pourquoi tant de gangs en guerre ?
Pourquoi ces tours de forces inutiles, la diplomatie existe, non ?
Et, surtout... Mais pourquoi vous ?
Je sens qu'on va m'achever... Pitié, lecteurs, découvrez-le, ne laissez pas l'étreinte folle du pensionnat se refermer sur vous. Si avez tout lu, vous êtes averti, partez tant que vous le pouvez encore !
Anonyme... Que certains ont eut le plaisir de tuer.
Contexte (c) Jelly
Idées (c) Youmi et Jelly | |
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