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 Je me suis nommé moi-même... ~~ Inujini

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3 participants
AuteurMessage
Inujini Ketsurui
Chains
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Inujini Ketsurui


Messages : 12
Date d'inscription : 28/02/2012

Je me suis nommé moi-même... ~~ Inujini Empty
MessageSujet: Je me suis nommé moi-même... ~~ Inujini   Je me suis nommé moi-même... ~~ Inujini Icon_minitimeMar 28 Fév - 6:52

Inujini Ketsurui
18 ans - Garçon -Chains


Je me suis nommé moi-même... ~~ Inujini Icane_22
Nom : Ketsurui
Prénom : Inujini
Surnom : Inu, ou Inuji pour les intimes... En toute honnêteté, je m'en moque. Ça n'a aucune différence.
Date de Naissance : Le 19 Juin 1994...
Nationalité : Japonais
Particularité gardée : Don du Sang
Orientation Sexuelle : Bisexuel
Gang : Je n'ai rien à faire de vos enfantillages, mais on m'a arraché à mon errance pour m'enrôler dans les Chains...
Rang : J'aimerais bien dire que je ne suis rien, mais je suis apparemment devenu un membre important...


Caractère

Décrire... Mon propre caractère... Je n'en vois pas l'intérêt, puisque vous le découvriez vous-même, et c'est, en soit, une chose plutôt compliquée.
Mais je m'efface devant votre volonté, et je vais de ce pas me décrire, si vous y tenez tant.

Pour faire simple, je suis brisé, effacé... A mes yeux, je suis déjà mort. Mort en sursis, si vous préférez... J'ai passé ma vie enchaîné, ou presque. Je suis si heureux de cette libération... Mais ça n'est pas le sujet, et je préférerais l'éviter.
Je considère donc que je ne vis pas vraiment. Je suis mort et vivant, car je ne sais pas moi-même si je suis l'un, ou l'autre. On m'a promis l'enfer, des millier de fois. On m'a décris l'enfer une bonne centaine de fois, aussi. N'était-ce pas exactement ce que j'étais en train de vivre ?
Pourtant, on s'obstine à me dire que je suis vivant... Il faut l'avouer, je suis un peu perdu.
Pour conclure, je ne sais même plus qui je suis, où je suis et ce à quoi je suis censé servir, je ne me tiens pas non plus en très haute estime, et je suis convaincu que personne ne veut de moi.

Je suis solitaire, et pourtant, je ne recherche que le contact, l'affection, voire même l'amour de mes semblables. Mais je suis si timide que je préfère me tenir à l'écart, loin des autres, plongé dans mes pensées. Je sais très bien d'où vient ma timidité, elle est née de ce sentiment d'enfermement, de savoir qu'on me haïssait profondément... De plus, je n'ai jamais appris à engager une conversation, me faire des amis en me rapprochant d'eux... Je n'arrive même pas à amorcer une tentative d'approche.
J'essaye de me défaire de cette idée que je suis une créature répugnante, mais je n'arrive pas à m'en défaire, et garde ce collier autour de mon cou pour toujours garder à l'idée que je ne suis rien.

Je suis plutôt très docile, et serviable, à ce que l'on dit. Je suis gentil et attentionné, et je me donne à fond dans chaque chose que je fais !... Vous y avez cru ? Ne vous méprenez pas, je ne suis et ne serais jamais comme ça. Je suis calme et posé, plutôt renfermé et distant, mais ça, vous deviez l'avoir compris. Froid, mes paroles sont souvent tranchantes comme de l'acier et je blesse par habitude, sans même m'en rendre compte. Donc oui, je vexe mon entourage. Ce qui me rend la tâche impossible, lorsqu'il s'agit de se faire des amis.
Je suis plutôt impulsif, et me met facilement en colère, pour un rien. Toutes mes émotions jaillissent, je ne retiens rien. Je me vexe facilement, et en général, mes émotions sont exagérées. J'espère qu'on ne se moquera pas trop de moi, à ce sujet...

J'aime côtoyer des personnes douces, innocentes, belles et ignorantes... Cela me donne tellement envie de les briser, de les pervertir ! Quelle plus grande joie que de briser une petite fifille à sa maman à peine sortie de sa protection ! Très franchement, je possède une dizaine de moyen de briser une fille, mais la plus radicale passe évidemment par le viol... Et, croyez moi ou non, je m'y connais dans la matière.

Cette douleur qu'on m'a infligée - en plus de cet enfermement tout au long de ma vie - m'a rendue fou. Ou plutôt, c'est la cause de celui-ci. Oui, je redeviens fou dès qu'on tente de me faire souffrir, et je deviens fou à la vue du sang. J'aurais dû vous en parler en premier, mais j'ai préféré allonger le temps... Complètement fou en vérité, je ne rêve que de blesser et faire souffrir, je me transforme en machine à tuer et perd toute notion de temps, de fatigue et de douleur. Je suis un vrai ravageur, un danger publique, quelqu'un qui n'a sa place dans aucun monde. C'est pour ça qu'au fond, je n'en veux à personne de m'avoir cloîtré. Je le méritais, j'avais déjà commis trop d’infamies.
Par ce collier, je symbolise cette folie contre laquelle je m'efforce inutilement de luter. Je sais qu'un jour je devrais m'offrir comme réceptacle à ce démon qui m'habite, mais pour l'instant je veux tout de même profiter du peu de temps qu'il me reste, et refouler ces envies meurtrières au plus profond de mon être.



Description Physique

" Police ! Vous êtes témoin, n'est-ce pas ?
- Et bien, oui...
- Vous allez tout nous raconter ! Immédiatement ! Comment était-il ?
- Lui... Ses yeux sont rouges, rouge sang, pour commencer ! D'un rouge si vif qu'il en devient presque lumineux... Mais ses pupilles étaient si dilatées qu'on n'en voyait que la bordure de ses iris. Mais cela ne fait aucun doute, ils sont rouge ! Son regard était hagard, hanté d'une tristesse et d'une folie incomparable... Il pleurait, oh, ça, c'était impossible de le rater ! C'était son propre sang que l'on voyait dans ses larmes, mêlé à l'eau, certes, mais il pleurait du sang. On aurait même dit que c'était ses yeux eux mêmes qui étaient sanglants.
Ensuite son visage... Cet air suppliant, désolé, peiné et fou... Son visage est pourtant beau... Son menton est fin, son visage triangulaire, tout de même un peu anguleux, montre à lui même sa maigreur, par l'absence de joues rebondies.
Ah... Je me suis permis de vous parler de ses yeux, mais je n'en ai vu qu'un seul. L'autre était caché par un amas de mèches noires. Les cheveux qui encadrent son visage sont franchement désordonnés ! Si vous aviez vu... Ses mèches ébouriffées retombent dans tous les sens, et l'amas de cheveux dissimule la partie supérieure de son visage.
Après, je n'ai pas vraiment vu le reste de son corps, mais je suis sûr qu'il est musclé. Il paraissait si fin ! Il a presque la peau sur les os, mais je suis sûr que ce jeune va se requinquer maintenant qu'il est dehors !
- Non, il ne va rien ! On va le trouver et l'enfermer de nouveau, et le plus vite possible.
- Oh... Et bien, il a un torse fin, et a une stature peu masculine, mais loin d'être féminine. Ses épaules sont fines, pas carrées et ses bras sont long, tout comme ses jambes. D'ailleurs, il est plutôt grand et environne les un mètre et quatre vingt centimètres. Il était habillé d'un jean, noir, ainsi que d'un sweat rouge, par dessus un autre T-shirt noir. Je crois que c'est sa couleur préférée.
J'ai d'ailleurs oublié un détail important, il a, autour du coup, un collier en cuir. Noir, tout simple, épais et large. Plus large que celui qu'on passerait à un chien.
Je pense que je n'ai plus aucune information à vous fournir, monsieur l'agent.
- Bien, merci jeune dame ! Je m'en vais immédiatement renvoyer ce démon d'où il vient. "


Histoire

Et bien, je ne me rappelle plus de cet instant, mais je suis né, comme vous et moi. Ça nous paraît logique à tous.
Je suis donc né dans un petit village dans la campagne japonaise. Mauvais présage pour tout mon village à cause de mes yeux rouges, ils m'ont découvert un autre défaut tout aussi rapidement. Je pleurais et pleure encore du sang. Certain dise que c'est mes iris qui sont imbibés de mon propre sang. Peu m'importe, vous pensez ce que vous voulez... Enfin bref, je commençais à être maudit et rejeté dès mon plus jeune âge... Et encore, c'était là mon âge d'or, si je puis dire. Me faire rejeter était un doux euphémisme comparé à ce que j'ai pu endurer.
Mais cela ne dura pas longtemps. Selon tout mon village, je suis "devenu" fou à l'âge de six ans. A mon souvenir, je n'avais changer en rien... J'étais juste caché derrière le peu d'innocence qu'il me restait.

Oui, j'avoue - j'assume - avoir commis des méfaits. Dès que je fus en mesure de marcher, je causais des problèmes à tout le monde. Je volais, je blessais mes camarades, je menaçais et manipulais pour obtenir ce que je voulais... Et encore, là aussi, ce n'était que de la rigolade.

Ce fut à l'âge de mes sept ans que ma folie chassa tout ce qui restait de l'enfant. Je devint alors le monstre que je suis aujourd'hui... Si jeune, me direz vous ! Et ! oui, c'est la vie ! Chacun ses problèmes, et le mien est plutôt imposant...
Donc, à sept ans, incapable d'imposer limite, barrière ou même d’apaiser cette mentalité qui était devenue mienne, je commis le premier meurtre d'une longue série. Je n'avais pas fais exprès. Je ne le voulais pas ! Vous ne me croyez pas n'est-ce pas... Mais vous êtes bien ignorants, car torturer sa mère à mort c'est affligeant. Ce qui est affligeant, c'était de l'avoir tuée. Je voulais qu'elle me déculpabilise de toutes ces fautes dont on m'accusait. Evidemment, elle a voulu me faire entendre raison en me disant que j'étais effectivement coupable...
Elle n'aurait pas du ! Jamais ! Ma propre mère m'accusant de vol, de bizutage, de brutalisation, de racket et autres choses... Est-ce que vous imaginez le choc ? Probablement pas.

Cela m'a tellement peiné que... Je lui ai planté mon couteau dans la cuisse, hurlant à tout rompre que je n'avais rien fait. Après m'être scandalisé, je m'étais tourné vers ma mère, écroulée à terre, le pantalon ensanglanté... Elle était si ridicule ! Et j'aimais voir cette terreur dans ses yeux, cette douleur qui crispait ses muscles... Elle souffrait... Elle saignait... C'était si amusant !
Si amusant que j'ai recommencé. Recommencé encore. Et encore. Et encore un peu ! Mais j'ai temps mutilé ma génitrice qu'elle a finit par mourir d’hémorragie...
Quelle mort honteuse ! Vous ne trouvez pas ? Morte par manque de sang à cause de son fils de sept ans. Qu'est-ce que j'ai pu en rire, de voir cette pauvre femme se tordre de douleur à terre, gémissant, me suppliant d'arrêter... Ce sentiment de puissance que l'on a lorsque les gens sont en notre pouvoir... Ce pouvoir, si simple à maîtriser, qui s'appelle souffrance...

En toute honnêteté, je fus déçu de la voir pousser un dernier cris et s'écrouler à terre, les yeux vide. Mais je m'étais bien amusé... Tout ce sang qui était sur le tapis blanc... Ou plutôt rouge.
Le sang... Un liquide vermeil bien intriguant pour moi. Je m'étais baissée sur ma mère, pour goûter le liquide vermeil, lorsque la porte s'ouvrit en grand.
Je n'ai même pas tressaillit. Un cri d'horreur, de désespoir et de tristesse se fit entendre derrière moi. Mon père... Je me retournai, et il battit immédiatement en retraite. J'étais inarrêtable. J'attaquai sans relâche mon père, qui sortit rapidement et sonna l'alerte. Je fus naturellement maîtrisé, mais j'arrachai quelques lambeaux de chair avec mes dents. Naturellement, ce fut le noir total.

Je me réveillai enchaîné, un collier en cuir autour du coup. Je tentai d'y porter les mains, voulant me gratter le coup. Ce fut avec surprise que je constatai que mes mains ne pouvaient pas bouger plus loin...
J'étais attaché... Bloqué... Immobilisé. Je me rappelle avoir hurlé de tout mon soûl, verser toute mes larmes, et tenté inutilement de bouger.
Après m'être épuisé, je m'abandonnait à mon triste sort et me laissait pendre aux chaînes. C'était douloureux... Qu'est-ce que l'acier peut mordre la chair, sans même être tranchant !
Je ne fus pas seul longtemps. Mon père, écumant de rage, venait m'interroger sur mes méfaits. Il voulait savoir si j'avais tuer ma mère.
Avec grande fierté, je lui ai naturellement tout raconter ! Je lui ai même dit à quel point ça m'avait fait plaisir.
Il a du m'en vouloir... A partir de ce jour, je fus officiellement déclaré démon.
Sans relâche, j'endurais tous les jours pires douleurs que vous n'en avez jamais reçu. Un simple coup de cette instrument de torture suffisait à vous éclater la chair de tout un bras, et d'avoir l'impression que vos os eux-même s'enflammaient... Et encore, on n'appuyait pas fort, j'avais le droit à un petit répit grâce à ma jeunesse.

Mais la douleur s'empira d'années en années. Je découvrais moi-même ce que le pouvoir de la douleur pouvait faire. J'avouais tout et n'importe quoi. Je me rendais coupable de tout. Les orages, la sécheresse... J'étais prêt à n'importe quoi pour cesser de souffrir.
J'aurais même pu dire être le diable en personne... Si je ne l'avais pas déjà dit. Quoiqu'il en soit je fus traité comme un jouet, torturé dès qu'on avait besoin de rejeter la faute sur quelqu'un, torturé pour que j'avoue les fautes dont je n'étais nullement coupable.

J'ai développé une résistance à la souffrance durant cette longue - très longue - période. Mais pas seulement. J'ai appris à contenir ma folie. Ce fut dur. Ce fut long. Mais ces imbéciles ne me laissaient pas le prouver ! Ils ne m'écoutaient pas ! Ils continuaient à me faire souffrir, me laisser baigner dans mon sang... Et c'étaient les deux choses qui cassent mon barrage mental.
Je grandis... J'eu seize ans...
Et ma folie renversa à nouveau mon barrage lorsqu'on me cassa les os les un après les autres. Ce n'est pas grande douleur, lorsque vous n'avez rien d'autres.
Mais lorsque vous êtes déjà blessé de partout, qu'il n'y ai plus un centimètre de votre corps qui ne soit pas mutilé... Cela vous achève vraiment.

Alors, j'ai réussis à bouger... J'ai arraché les chaînes, dont les attaches au mur étaient vieilles et inutilisables.
Je suis partis, laissant derrière moi un massacre humain. Je tombai au milieu de la place, et m'écroulai en pleurant.
Personne ne m'approcha. Personne ne tenta ne serait-ce que d'approcher de la place. Ils avaient bien trop peur ! Le démon s'était réveillé, et il était furieux.
Je finis par me ressaisir, et faire renaître la limite de ma folie.
C'est la pire torture qui soit que de retenir ainsi sa vraie nature...

Je partis aussi loin que je le pu, gardai mon collier et me débarrassai finalement des chaînes.
Je m'envoya moi-même à Koichi... Ou plutôt, j'y forçai mon père en le menaçant, mais en prenant garde à ne pas le faire saigner. Il du remarquer que je voulais l'épargner et que j'étais lucide, car il ne tenta rien.
Il signa les papiers et me remis de l'argent en annonçant qu'il ne pouvait pas déshéritée son fils unique, bien qu'il l'aurait fait sans hésiter s'il n'était pas l'avenir de son commerce.
Car oui, mon père tiens une riche industrie de production de produit laitier. Ma famille est donc pas loin d'être milliardaire. Mon père a juste perdu beaucoup d'argent à construire ma prison.
Ayant oublié mon propre nom... Enfin non, ayant tout oublié, brisé un million de fois par la douleur, je me nommais moi-même car celui que les habitants disaient être mon père refusait de me dire mon nom car "le démon ne mérite pas d'avoir un aussi beau nom".
C'est pour ça que mon prénom signifie mort inutile et mon nom de famille larmes de sang.

Je fus donc enrôlé chez les Chains après un an. Je pense que cela résume mon histoire suffisamment bien pour que vous la compreniez...



Particularité

Torturé dès mon plus jeune âge, j'ai développé une haute résistance à la douleur.
Ensuite, je suis dit démon car j'ai les yeux rouges et je pleure du sang... J'avoue que c'est spécial, et ?
De plus, je suis devenu fou à l'âge de sept ans, mais j'ai réussi à bloquer cette folie. Folie que je ne peux plus contenir dès que je souffre ou bien que je vois du sang - mien ou autre.
Cette folie me donne un avantage, car je perd toute notion du temps, de la fatigue et j'ignore la douleur. Pourquoi m'inquiéter de souffrir tant que je peux assouvir mes désirs ?
Je pourrais en mourir de fatigue si l'envie m'en prenait. Voilà pourquoi je suis utile à mon gang. Fou... Pourquoi je ne suis pas dans un asile, hein ?
Bonne question, mes petits, bonne question...




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MessageSujet: Re: Je me suis nommé moi-même... ~~ Inujini   Je me suis nommé moi-même... ~~ Inujini Icon_minitimeSam 3 Mar - 15:37

Ouah .... Merveilleux personnage en vue ! Je te souhaite bonne continuation, Jelly !
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MessageSujet: Re: Je me suis nommé moi-même... ~~ Inujini   Je me suis nommé moi-même... ~~ Inujini Icon_minitimeDim 4 Mar - 9:18

    Merci =D.
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MessageSujet: Re: Je me suis nommé moi-même... ~~ Inujini   Je me suis nommé moi-même... ~~ Inujini Icon_minitime

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