Eoween Shi, chef des mercenaires

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Nom : Shi, autrement dit la Mort en Japonais Prénom : Eoween Surnom : Guillotine Date de Naissance : 23 décembre Nationalité : Japonaise Particularité gardée : Une maniabilité du couteau et/ou de tout ce qui tranchant inhumaine, et souplesse assez développée Orientation Sexuelle : Hétéro Gang : Mercenaire Rang : Chef

Caractère

Eoween .. Ce nom a quelque chose d'étranger, de lointain, n'êtes-vous pas d'accord ? Et vous avez un peu raison, car elle est un peu comme ça. Lointaine, tellement qu'on ne peut pas l'attraper ... ou plutôt qu'on ne s'y risque pas. Trop distante, elle reste formel, malgré les pitreries de certaines personnes, les piques lancées par d'autres ou encore les tentatives de drague des garçons. En effet, ils la considèrent, depuis sa tendre enfance, comme un trophée, quelque chose qui rendrait le propriétaire connu. Les quelques-uns qui ont tentés l'ont ... amèrement regrettés par la suite. Sous le coup d'une émotion telle que une extrême peur, une terrible colère, elle peut se transformer en un démon avide de douleur, pire que le plus sadique des sadiques.

Eoween n'est pas le genre de personne qui ... se laisse aller. Elle a même beaucoup de mal, et ce n'est jamais arrivé de toute façon. Pour l'instant, vais-je préciser ... Asociale, froide, provocante, ce sont là bien des traits de caractères qu'elle possède. En effet, elle ne peut pas faire le premier pas, elle a déjà assez de mal à répondre à des marques d'affection, alors en donner comme ça ...

Elle ne montre jamais ses émotions, malgré le fait que certains parlent souvent de sujets sensibles pour elle et naturels pour les autres. Comme les garçons, ou encore l'amour tout simplement, les sentiments. Elle se cache, se voile, ne se mêle pas aux autres pour ces raisons-là. Elle a trop peur de ce qu'elle ne sait pas, préférant rester dans l'assassinat, là où tout est simplissime. Elle n'ose jamais l'avouer, mais ces sentiments .. ces émotions, elle les a déjà ressentis, et ça lui a fait trop peur. C'est pourquoi elle a tendance à rejeter ceux qui commencent à s'attacher à elle.

C'est un petit animal blessé et maladroit, qui se cache dans les atrocités pour masquer sa détresse et son besoin de douceur. Eoween se rejette elle-même, se fait mal, fait tout pour que personne ne remarque sa faiblesse. Mais elle n'a pas totalement réussi ... Une personne a découvert cela, mais heureusement il ne dira rien ... Enfin elle espère, mais comment savoir ? Seipher, son bras droit, si loyal, si gentil avec elle, a percé sa carapace qu'elle avait mis tellement longtemps à créer. Elle est désemparée, ne sait plus rien ... Mais fait bonne figure et reste un maximum maître d'elle-même.

La plupart des gens ne connaisse qu'une jeune adolescente asociale et froide, moqueuse et arrogante. Heureusement, car c'est-à cause de ce caractère qu'elle a réussi à n'avoir quasiment aucun lien. Elle ne supporte pas les moqueries et le fait regretter.

Description Physique

On aurait jamais pu croire qu'elle était une meurtrière en voyant sa silhouette, si fine, si fragile. On aurait plutôt penser avoir affaire à une adolescente assez mal nourrie. Que d'illusions ! Qui partent en poussière au moment où elle vous égorge. Quant on fait mine de faire légèrement plus attention, on remarque ses muscles au niveau des cuisses. Mais, c'est tout, car le reste est caché par une grande écharpe orange, un gros pull blanc et bleu et des bottes montant jusqu'au genou.
Mais peut-être débuterons-nous par le début ? Cela ne me semble pas être une mauvaise idée.
Notre chère Eoween a des cheveux superbes, d'un beau blonds, très peu ondulés, attachés une couette sur le côté, cette couette étant possible grâce à un ruban. Mais, elle laisse toujours une mèche qui retombe légèrement et bouge au gré du vent.
Ses yeux sont ... reflètent souvent un ennui mortel, et ne laissent jamais passés ses sentiments. Ils vous regardent d'un air totalement désintéressé, les paupières tombant légèrement. On voit souvent des cernes en-dessous de ses yeux. Elle ne porte pas de maquillage, ni rien qui pourrait masquer sa peau quelque peu blafarde. Elle a un petit bout de nez qui dépasse de sa grande écharpe aux couleurs de feu, qui cache sa bouche. Mais pas toujours ! Juste la plupart du temps, et souvent vous ne ratez rien, elle ne vous accueille à peine, elle vous tolère juste.
Son cou est caché par ce morceau d'étoffe dont je vous ai précédemment parlé, tout comme ses épaules. Mais je vais quand même vous le dévoiler, parce que je suis d'humeur à parler. Son cou est fin, normal, et ses épaules sont un peu étroites. Ses clavicules sont malheureusement plus que saillantes, juste derrière la peau tendue.
Elle est plate, du moins vous le croyez. En fait, elle a une poitrine dans les normes à son âge, mais elle la compresse avec des bandages et en plus se cache sous un énorme sweat blanc et bleu. Le plastron est bleu, fermé avec des bouton et comporte une légère décoration en haut d'un côté, rouge entourée de blanc. Son ventre ne comporte pas un gramme de graisse, on voit très bien les côtes et ses abdominaux non négligeables. L'expression que j'utilise est fausse, puisqu'on ne les voit, ou du moins personnes ne les à encore vu à ce jour. Ou alors ils sont morts dans la dizaine de secondes suivantes. Comment le sais-je ? Je ne le vous dévoilerai pas, bien entendu. Mais continuons notre description ...
Elle n'a pas de grandes hanches, juste une petite taille. Le pull dépasse dessus, masquant à vos petites yeux la ceinture orné de nombreux fourreaux qui contiennent des armes. Et heureusement, sinon vous partiriez en courant !!
Ses jambes finement galbées, composées de solides muscles, font souvent frémir les garçons. À peine revêtues d'un mini short en jean moulant. Dénudée jusqu'au genoux, sa peau d'une pâleur si fantomatique (je sais c'est pas français, ça se répète) dresse les cheveux sur le crâne. Des bottes beiges usées par le temps, surmontées de hautes chaussettes noires, recouvrent ses mollets aussi puissants que ses cuisses et ses petites pieds.
Ses bras, recouverts du tissu blanc malgré les bords des manches raillés de bleu et de rouge du sweat, sont souvent collés sur ses côtés et ses mains rangés dans ses poches, tenant fermement pistolets, dagues, etc.

Histoire

Elle est née, un jour d'hiver, par hasard ou pas, personne ne le sait. En tout cas, ses parents prirent quand même soin d'elle, et elle grandit dans un cocon chaud et réconfortant. Mais ce n'était qu'un rêve qui ne pouvait pas duré, une simple illusion comme tant d'autres. Ses 6 ans c'étaient bien passés, dans la joie et le bonheur. Ses parents étaient près d'elle, et ils étaient assez aisés. Sauf qu'ils montèrent bientôt en grade, elle les voyait un peu moins mais ils ne l'abandonnaient pas. Ses relations avec les enfants de son âge n'existaient pas, elle ne leur dressait presque jamais la parole et jouait encore moins avec eux. Elle était presque constamment seule, et ne s'en plaignait pas. Quand, un jour comme un autre, où ses parents venaient la chercher de chez son entrainement au cirque, son père fut violemment assassiné sous ses yeux, tandis qu'elle même et sa mère se faisaient enlevées par une simple bande de terroriste. Sous ses yeux, le corps de son père fut criblé de balles et sa tête explosa, le sang tachant ses habits et ceux de sa mère. Cette dernière hurla; Eoween n'en fit rien car elle ne comprenait pas, tout simplement. Son père chéri, celui qui l'avait si longtemps soutenu ... Son existence venait simplement d'être effacée, piétinée, soufflée comme on souffle une bougie. Quand l'homme l'attrapa pour la fourrée dans la voiture, elle ne réagit pas plus, les yeux ouvert, le sang de son père dégoulinant sur sa joue, sa mère en pleurs qui hurlait qu'on devait la lâcher.
Elle ferma les yeux, simplement. Elle voulait se réveiller, sortir de cet horrible cauchemar. On la jeta sans ménagements sur un dur sol en béton, couvert de paille. Les hommes éclatèrent d'un rire gras. Sa mère pleura encore plus, se démena et cria. Elle ne réussit qu'à déchirer sa robe. Eoween avait perdue ses traits si joyeux. Une expression de totale indifférence s'étalait maintenant sur son visage enfantin, aux grands yeux dont la couleur rappelait les tâches sur ses vêtements. Les ravisseurs n'étaient pas moches, enfin, disons qu'ils n'étaient ni gros, baveux, puant les sueur à des kilomètres. Ils étaient tous fins, certains une cigarette à la bouche, d'autres des lunettes de soleil sur le nez. Il y avait des baraqués, des très grands, comme des petits et des gringalets. Un homme leur ordonna quelque chose, et ils ne se retrouvèrent plus qu'à trois. Enfin, quatre, le chef s'était installé à côté de la petite. Sa mère regarda vers elle, le suppliant de ne rien faire à sa fille. L'homme répondit doucement qu'il veillerait sur elle comme sur la prunelle de ses yeux. La mère soupira, sourit avant de se figer. Sa propre fille lui fit peur : Eoween avait un rictus fou, s'étalait le sang sur son visage et ses yeux reflétaient à cet instant les pulsions sado-maso qui l'animait. Alors qu'elle ricanait monstrueusement, elle se mit tout d'un coup à pleurer, appelant sa mère. Qui lui dit de faire confiance à l'homme à côté d'elle, de ne pas s'inquiéter pour elle. Les trois autres s'approchèrent d'elle, et le chef prit Eoween dans ses bras et l'emmena dans la pièce d'à côté. Mais ses oreilles résonnèrent longtemps des cris de plaisirs mêlés de souffrance de sa mère.

De longues années passèrent. Peu à peu, Eoween oublia son ancienne identité. Elle remplaça son père par cet homme qui l'avait tué, oublia sa mère. Sa seule famille devint cette bande de dégénéré, de fous. Elle y apprit les techniques de combat au corps à corps. A se servir d'une arme à feu. Et à manier les armes blanches. Elle excellait surtout dans cette matière, où sa souplesse acquise grâce au cirque lui était utile. Elle allait aussi à l'école, bien entendu. Mais personne ne lui reprochait de faire souvent l'école buissonnière. Elle était avide de liberté, et d'espace.

Sauf qu'un jour, elle perdit tout. Encore une fois, elle fut victime d'un terrible évènement. La bande, dans une tentative de terrorisme, fur soufflée par l'explosion. Elle, elle ne pouvait que regarder les corps détruits, après avoir eut connaissance de l'attentat. Elle était au collège, en ce funèbre jour. Elle était en cours, mais dès qu'elle entendit, ou plutôt ressentit l'onde de choc, elle sut ce qui c'était passé et sauta de la fenêtre. Le professeur lui cria de rester à sa place, les élèves étaient tétanisés, et elle, elle était perdue. Une nouvelle fois, des larmes de tristesse et de colère roulèrent sur ses joues. Maculée de boue et des suie, ces perles liquides traçaient d'étranges sillons blancs, débarrassant de leur passage les saletés. Elle s'enfuit, et pendant des mois, fuya l'établissement scolaire. Le proviseur, les policiers et le maire de la ville, tous unirent leurs effort pour la retrouver. Aucun ne réussit.

Quelques mois après cet incident, elle s'engagea comme mercenaire. Ses services étaient recherchés, chers, et on était sûr de la réussite de la mission. Elle sombra dans un abîme de violence, de sang, de torture. Cela allait pourtant contre les préceptes qu'on lui avait appris, comme garder la tête froide, et laisser ses sentiments de côté. Mais elle était trop déchirée, trop détruite de l'intérieur pour y penser. Après des années d'errances, elle tomba, épuisée, dans une ruelle sombre, et au lieu de rentrer chez elle, elle se roula en boule, et passa la nuit dehors. On aurait pu la tuer, la violer, la torturer pendant cette nuit; mais personne ne vint, car elle était beaucoup trop repoussante. Sur sa peau livide, les gouttes vermeils formaient un certain contraste, et la lune se reflétait parfois sur le nombre d'armes qu'elle avait sur elle. Ses vêtements, en lambeaux, portaient les traces d'une lutte acharnée, et soldée par la mort de l'adversaire. De nouveau, on apercevait les tâches du liquide vital, rouge sombre, absolument partout ...

Elle en avait marre. De tout, de la vie, des cauchemars, des rêves, de la réalité, de tout, absolument tout. Elle voulait quitter ce monde, sombrer doucement dans la noirceur de la mort ... Mais elle s'était promis de vivre. De survivre. Pour ses amis, ses frères, son père. Pour eux, elle devait exister, cesser de n'être qu'un gamine, devenir adulte ... C'est pourquoi, elle décida de s'inscrire dans cet établissement, pour être loin de ces massacres, pour être au calme ... cependant elle reprit bien vite ses habitudes, mais pas ses pulsions de sang. Elle monta un groupe, ressemblant à celui de son père, et depuis, elle siège dans le cercle des personnes les plus craintes de l'établissement.

Particularité

Elle manie les armes tranchantes avec une dextérité qui frôle l'impossible, tant par ses mouvements vivaces et meurtriers que par sa souplesse. Elle vise très bien, ce qui en fait une redoutable lanceuse de couteau et compagnie. Quant à sa souplesse, on aurait très bien put l'embaucher en tant que gymnaste participant aux JO.

Puf : Meï Age réel : 15 ans Date de Naissance : 6 mars 1996 Comment a tu connu le forum : Tops-sites Code du règlement : Okay by me xD