Sebastian Swift, "Griffe Pourpre"

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Nom : Swift Prénom : Sebastian Surnom : La lame démoniaque Date de Naissance : 03 Août Nationalité : Slovène Particularité gardée : Spécialisé dans les instruments de torture. Orientation Sexuelle : Hétéro Gang : Noés Rang : Chef de gang.

Caractère

En effet, il paraît détaché, sympathique parfois, ou encore vraiment effrayant. Mais qui est-il en vérité ? Que se passe-t-il dans sa petite tête ? N’allez pas croire que c’est le vide intergalactique, même si… Enfin bref ; tout se bouscule là dedans. C’est une bataille incessante entre la raison et la folie. Tantôt névrosé et hystérique, tantôt calme, et presque gentil, il a de nombreuses sautes d’humeur.
Avant l’incendie et sa brusque liberté, il était sombre, désespéré, torturé mentalement. Mais tout cela a changé quand il a vu la cause de tous ses problèmes mourir, disparaître. Désormais, pour lui, faire du mal est une occasion de libérer sa conscience, de se… ressourcer.
Mieux vaut faire attention à ce que l’on dit devant lui, il adore jouer sur les mots. Ses armes préférées sont le fouet, bien évidemment, et les petits couteaux bien tranchants.

Description Physique

C’est un garçon menu, élancé, à l’allure nonchalante. Son visage est toujours fendu d’un grand sourire. Un sourire assez… ambigüe. Il peut vous paraître vraiment sincère, vous prendre aux tripes, l’aire de dire « Allez, viens, ne reste pas seul à te morfondre dans ton coin, je suis ton ami ! » mais deux secondes plus tard, il aura changé imperceptiblement et cette fois ce serait plutôt « Je me demande ce que ça donnerait si je ne t’écartelais que le bras gauche et le pied droit, on essaye ? »… Il a des cheveux mi-longs, bruns. Son œil gauche est rouge, mais ne l’a pas toujours été. Son œil droit, lui, est bleu. On ignore encore la cause de cette disparité de couleurs. Il porte un long manteau noir, sans doute pour y cacher son « matériel », ainsi qu’un jean complètement déchiré. Ses chaussures ? De simples baskets, trouées. On pourrait facilement le confondre avec un sans abri, mais qui se risque à lui donner une pièce risque de « disparaître ») d’une étrange façon. A sa ceinture est accroché un fouet clouté. Il se promène souvent les mains dans les poches, en sifflotant.

Histoire

Sebastian s’amusait avec sa sœur, dans le jardin. Le soleil brillait, le vent était léger... C’était une splendide journée. Ils n’étaient pas surveillés, ce jour-là, car leurs parents étaient partis pour une affaire importante dans la ville voisine. Ils avait chargé Lily, l’aînée des deux enfants, de surveiller elle-même son petit frère. Ils jouaient depuis dix bonnes minutes quand soudain, ils entendirent des bruits de pas et des ricanements peu dissimulés. Deux hommes arrivèrent bientôt, un sac sur l’épaule.
-On prend lequel ? Chuchota l’un à l’oreille de l’autre.
-Le petit, là, il se débattra moins, ricana le second.
-Je ne sais pas qui vous êtes, ni ce que vous me voulez, mais vous ne toucherez pas à un cheveu de mon frère ! Déclama bravement l’aînée, qui avait tout entendu de leur discussion.
La jeune fille prit un coup de pied dans le ventre, et tomba à terre. Les deux acolytes assommèrent Sebastian et le mirent dans le sac sans aucune gêne.

Le petit garçon se réveilla dans une pièce très sombre. Il essaya de se relever, mais ses jambes tremblaient tellement qu’il n’y parvint pas. Il avait froid, très froid. Au bout d’un certain temps, qui lui parut très long, quelqu’un entra. C’était une jeune femme, blonde, qui arborait un sourire très doux. Elle portait une très grande robe, encore plus belle que celles de sa mère.
-Je vais être ta maman maintenant. Oublie tout de ta vie d’avant. Maintenant, il n’y a que moi.
-Où… je suis ?
-Chez toi, maintenant. Mais il faudra que tu m’obéisses au doigt et à l’œil, sinon tu verras ce qu’il t’attend, annonça-t-elle en souriant.
-Vous n’êtes… pas… ma maman !
La jeune femme se leva alors, sortit. Le garçon l’entendit discuter avec un garde, mais ne comprit pas tout.
Quelques minutes plus tard, un colosse entra, armé d’un fouet. Sans dire un mot, il enleva la chemise de l’enfant, le retourna, et commença à le corriger. Une quinzaine de minutes plus tard, il partit, laissant Sebastian écroulé de douleur. Il avait alors 4 ans.

Le jeune garçon n’appelait toujours pas sa ravisseuse « maman », ce qui la mettait dans une colère folle. Il se prenait, chaque matinée, une série de coups. Un beau jour, alors qu’il pensait ne plus jamais sortir de cette pièce, sa « mère » l’emmena dehors. Il fut alors éblouit par la clarté, la beauté du soleil, la douce chaleur.
-Tu es un échec. Tu ne sers à rien. Même quand l’on te frappe, tu ne comprends pas. Tu deviendras mon garde du corps. Tu n’es plus mon fils. De toutes manières, tu ne l’as jamais été, tu n’as jamais voulu m’appeler maman. Je te laisse aux bons soins du maître d’armes.

Et elle partit.

Sebastian apprit à se servir d’une épée, d’une dague, d’un fouet, de tous les instruments possibles et imaginables. Parfois, il lui arrivait de blesser son précepteur, et il en éprouvait un plaisir immense. Sentir son épée s’enfoncer dans la chaire lui procurait un plaisir exceptionnel. Les soirs, il reproduisait ces gestes sur l’ours en peluche qu'il avait eû à son arrivée.

Une nuit, le jeune homme (qui devait avoir maintenant 15 ans), fût réveillé par une odeur de brûlé. Intrigué, il sortit de sa chambre et observa. Le feu ravageait tout ; le salon s’effondrait peu à peu, les rideaux brûlaient, la tapisserie n’était plus… Au milieu de tout ça, il l’aperçut. Elle lui criait à l’aide. Son premier mouvement fut d’aller la sauver, ce qui lui était encore possible, en sautant par-dessus les flammes avec son agilité. Mais il stoppa net. C’était elle qui l’avait enfermée ici. Encore elle qui ordonnait tous les soirs de le fouetter. . Il tournait, et retournait dans sa tête, les paroles qu’elle avait proférées à son égard. « Tu es un échec ». Alors il s’assit par terre, en tailleur. La robe de celle qu’il n’avait jamais voulut appeler « maman » prenait feu. La douleur se lisait sur son visage. Sebastian sourit. Quel bonheur de la voir souffrir, elle aussi ! Puis une poutre tomba et il ne la revit plus. Son seul regret avait été de ne pas lui avoir infligé lui-même la mort. Il sortit, alla chercher tranquillement son « matériel », ses armes, et s’en alla.

Particularité

Il a un des deux yeux rouges, mais on en ignore la cause. Certains disent que cet œil est le fruit d’un pacte avec un quelconque démon, d’autres disent qu’il est possédé par un esprit… Mais personne ne connaît la vérité, à part lui.
Il est un virtuose dans tout ce qui touche aux armes de tortures.

Puf : What ? Age réel : Je préfèrerai garder l'anonymat... En tous cas j'ai plus de 13 ans. Date de Naissance : Le 03 août, comme mon perso'. Comment a tu connu le forum : Grâce à un topsite ! Autre : Pur vous dire que ce forum promet ! Code du règlement : OKAY :3